La loi sénégalaise interdit l’excision depuis 1999, mais elle est rarement appliquée. La prévalence des mutilations génitales féminines dans la région de Matam, au Sénégal, était de 87% et a chuté à 61% depuis 2017.
Depuis 2017, 2 projets réalisés avec l’aide du Ministère des Affaires Étrangères.
25 points d’écoute et 25 comités de veille et de protection de l’enfance dans 25 villages.
200 leaders communautaires et 100 autorités locales formés aux droits des enfants.
60 exciseuses reconverties.
Prise en charge des victimes, aide psychologique, suivi médical, éducation.
Travail de prévention à destination des parents de filles non excisées